Lorsque Joëlle Jolivet m’a demandé si je voulais bien participer aux expositions du Hublot, j’ai été drôlement fier de l’invitation. Mais n’étant pas artiste...
Puis elle m’a dit « Ce serait bien de mettre tes photos de train ». Là, j’ai été particulièrement content de voir ces images qui ponctuent mon quotidien et qui n’ont qu’une vie numérique sur les réseaux sociaux soient ainsi détournées et trouvent une nouvelle destination.
Alors vendredi 10 janvier 2014, après 19h, ce sera le vernissage de cette (...)
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Rongier Sébastien
Articles
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L’invitation au Hublot, vendredi 10 janvier 2014, exposer ses photographies
9 janvier 2014, par Sébastien Rongier -
Rebours
30 décembre 2008, par Sébastien RongierDes choses à faire en attendant le livre
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A propos de Silvio Berlusconi
9 novembre 2011, par Sébastien RongierC’était le 11 mars 2002, et me semble-t-il, le tout premier texte que je publiais. C’était L’Humanité . Un ami m’avait proposé de publier cet énervement d’alors. Je ne l’écrirai sans doute plus de la même façon, mais je crois que je garderai assurément l’essentiel, la trame, en un mot, la substance, ou la matière. Mais si je le republie ici, c’est pour saluer le départ de l’Autre, même s’il ne part pas comme on l’aurait, un bon coup de pied au cul par le peuple italien.
Quant à la question de la merde dans (...) -
Po&sie, numéro 125
21 décembre 2008, par Sébastien RongierUn beau programme et quelques affinités très électives pour ce numéro.
Programme complet ici. -
La série "disparition sur remue.net"
1er février 2014, par Sébastien RongierCette image, je l’ai prise début janvier 2014. Passant devant ce petit parc, j’ai vu ce banc déserté. Puis, après quelques pas, j’ai fait demi-tour, j’ai attendu quelques instants. Et j’ai pris cette image. Un peu inquiet, un peu terrifié. Et plus tard, un peu amusé me rendant compte que l’image (celle vue, celle prise) était une surface de projection. Ce qui avait vacillé en moi était l’idée de la disparition. Parce que j’ai toujours été très ébranlé et inquiété par les chaussures laissées dans la rue, (...)
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78 et moi
9 décembre 2015, par Sébastien RongierDans 78, outre certaines heures très sombres de notre histoire moderne, je me penche sur le Front National, objet d’une opposition politique constante dans mon parcours. Dans ce roman, je rappelle les racines profondes de l’antisémitisme et de la collaboration, des admirations fascistes et brutales qui président à la naissance de ce parti.
En 1978, ce parti politique obtient 0,33 % des voix, oui, 0,33… je ne me suis pas trompé de virgule. L’échec est cuisant mais les transformations couvent. (...) -
Publie.net : après Christian Ruby, Jean-Paul Galibert
29 décembre 2008, par Sébastien RongierLa collection Art, pensée & Cie
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Semaine du 28 février 2022
10 mars 2022, par Sébastien RongierDepuis 2013, un rituel photographique s’est installé. Je publie une photographie en noir et blanc. Le protocole est simple : prendre une photographie du trajet quotidien entre le logement et le travail. La série s’appelle "Matin" et le titre est entre parenthèse. Manière de transformer le poids de quotidien par un exercice du regard et la possibilité d’une image mentale. Parfois, il y a une entorse au protocole. Il n’arrive (rarement) d’utiliser une photographie pris la veille. Lorsque les vacances (...)
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Salon du livre : publie.net + remue.net
11 mars 2009, par Sébastien RongierPublie.net sera présent au Salon du livre avec Arte TV pour six expériences littéraires numériques quotidiennes.
Remue.net sera également au Salon du livre, à l’invitation de la Région Ile-de-France et de Xavier Person, lundi 16 mars, de 15h30 à 16h30, Stand G76 pour une table ronde autour de la question « Quel avenir pour les revues aujourd’hui ? ». Avec Blandine Renaud, directrice de Difpop, Sébastien Rongier, auteur et membre du collectif de la revue en ligne Remue.net, Gérard Doublet, revue (...) -
La voix de Tricky
28 novembre 2008, par Sébastien RongierLa voix, on la connaissait déjà. Même si, à l’époque, on écoutait peu de musique, on avait déjà été accroché par cette musique, ces voix, ce qu’on ne connaissait pas encore sous le nom de Trip Hop.
Sa voix à lui, on l’avait déjà entendu. A la radio. Chez des amis. Mais ce qui a véritablement déclenché, enclenché l’écoute, c’est Koltès. C’est grâce à Koltès et Chéreau, c’est grâce à la sidération d’une représentation de Dans la solitude des champs de coton, en 1995, à la manufacture des œillets à Ivry-sur-Seine qu’on (...)